« C'est un défilé perpétuel de très jeunes filles des pays de l'Est, s'insurge une voisine. Ils passent leur temps à s'envoyer en l'air. On ne peut plus dormir. Ils beuglent. On est otages. Quand il fait beau, c'est la fenêtre grande ouverte sur la cour.
Et quand il ne fait pas beau, c'est de toute façon sans rideaux. On assiste à de véritables scènes pornographiques. Ils balancent même les capotes par les fenêtres. »
Las de leurs nuits blanches et de ces « parties fines pas très fines », les habitants sont allés toquer à la porte du « braillard », lequel les a reçu en caleçon et leur a déclaré : « Je suis un homme. J'ai des besoins. »

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