
La majorité de la profession n'est pas prête à faire évoluer la réglementation. L'exemple de ce boulanger est loin d'être isolé.
Si pour Cédric Vaivre fabriquer son pain est un bonheur, il le fait avec une pointe d'amertume en ce moment.
Situé à proximité du lac d'Orient Cédric a ouvert son commerce 7 jours sur 7 l'été dernier. Ce boulanger a été verbalisé et doit payer 3000 euros.
Deux arrêtés pris en 1994 et 2000 interdisent l'ouverture 7 jours sur 7 dans cette profession dans l'Aube mais jusqu'ici ils étaient appliqués avec une relative souplesse.
Comme son époux, la boulangère s'est résignée à payer l'amende, elle milite cependant pour qu'on modifie cette réglementation.
Reste que la clientèle du village comprend mal cette amende, une pétition soutenant le boulanger est en cours.
Interpellée par la Direction du travail, la Fédération patronale de la boulangerie a fait un sondage auprès de 126 professionnels.
Selon la Fédération d''autres enseignes ont été contrôlées et amendée. Elles ont payé sans faire de vagues.
evasion2018, Posté le samedi 24 mars 2018 08:10
Je ne comprend plus rien à la réglementation ou à la lois, va savoir .
On devrait verbaliser les ministres, les députes, les chefs d'entreprises des grandes firmes parce qu'ils doivent être à la retraite au lieu de continuer à exercer et se faire double, voir triple salaires aux frais de la princesse.